Un motard de 50 ans, originaire de Kalhausen, a effectué une sortie de route sur la D919 à Tieffenbach vers 17h. Dans sa chute, il a percuté le support de la barrière du passage à niveau, la rendant hors d'usage. Un agent d'astreinte de la SNCF est sur place. Il reste le temps que la pièce de remplacement arrive... et tire une banderole lors des passages de trains dont la vitesse est limitée à 30km/h. Les gendarmes de Bouxwiller ainsi que les pompiers de Petersbach et Weislingen sont présents. Le quinquagénaire, présentant de légères blessures, a été transporté à l'hôpital de Saverne.

Le manque de toilettes publiques à l’église protestante posait régulièrement problème. L’utilisation exceptionnelle de celles du logement du pasteur n’était pas une situation pérenne. Le conseil presbytéral a donc décidé de transformer le local de la buanderie en WC publics. La commune a proposé de prendre en charge l’achat des matériaux de construction. Ainsi plusieurs bénévoles œuvrent depuis quelques jours pour aménager cette pièce. Lorsque les travaux seront terminés d’ici quelques semaines, deux WC, dont l’un aux normes handicapés, un urinoir et des lavabos seront accessibles depuis la cour de l’église. Merci aux bénévoles qui œuvrent ainsi pour le bien de tous !

Les spécialités culinaires ont le vent en poupe en Alsace Bossue. A Tieffenbach ce sont les Schneckenudle qui ont attiré les amateurs de ripaille ce dimanche. La veille les membres du club sports et loisirs ont passé la journée pour préparer quelques milliers de petites ravioles. Tôt le matin, la viande hachée a été préparée chez le boucher du village. Ensuite direction le boulanger pour préparer la pâte. Ces ingrédients ont ensuite rejoint la cuisine du mille club où une douzaine de bénévoles était à pied d’œuvre. Une fois la pâte passée plusieurs fois au rouleau, elle est étalée puis la viande hachée appliquée. Le tout est roulée en un long boudin. Découpées en fines tranches, les petites ravioles sont cuites rapidement à la poêle pour garder leur consistance. Une fois refroidies, elles sont placées dans des caissettes et gardées au froid jusqu’au lendemain. Le dimanche matin il reste à préparer deux sauces au choix et la salade qui accompagnera le met. Chauffées comme des pâtes dans de grandes marmites, servies à volonté, les quelques 200 convives ont vidé les plats avec gourmandises.
Cela fait 30 ans que nous réservons le premier dimanche de septembre pour cette fête, précise Roland Letscher le président du CSL. Par contre les plus anciens commencent à peiner et souhaitent passer le relais à de plus jeunes. Comme ailleurs, ce ne sera pas facile de trouver les bénévoles pour relever le défi !